Partant des deux chambres du parlement gabonais que, de la quasi-totalité des institutions du pays et, d’administration décentralisées, qu’il est largement constaté l’entrée en fanfare des acteurs clés de la société civile du pays.
« Le pays est-il déjà libéré dans son entièreté. Si toute la société civile se voit être nommer dans les arcanes de l’administration du pays et aussi, des institutions, qui sera désormais l’interlocuteur du peuple gabonais ? », se pose un étudiant gabonais.
Même au temps de feu le Président Omar Bongo Ondimba, il existait une société civile contestataire et une opposition politique de cette même ligne pour jouer le dogme de la démocratie dans le pays mais, des questions s’élèvent quant à la stratégie multiforme du Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema qui, au regard des nominations qui pullulent par décret spécial et par conseil des ministres, la société civile est largement gratifiée.
« Nous demandons à Brice Oligui Nguema de faire dans l’équilibre, s’il estime vouloir travailler avec tous les Gabonais, qu’il nomme les enfants de chaque famille, en moyenne deux (2) à trois (3) enfants par famille comme le faisait le patriarche feu Omar Bongo Ondimba, cela donnait effectivement la chance à toutes les familles de sortir du cadre misérable », a rajouté Franck Boussougou.
Rappelons que le putsch militaire avait été orchestré le 30 aout dernier à la suite de l’élection générale tronquée, ainsi, le général de brigade Brice Clotaire Oligui Nguema avait été porté à la tête du pays pour observer la Transition au Gabon.
Nous y reviendrons…
Times Infos
Par Nancy Nguema.