Au Gabon : la société civile vent debout contre les nominations de trop aux deux chambres du parlement 

Vers une grogne des gabonais de la société civile sur l’ensemble du territoire national, c’est ce qui laisse paraitre sur la déclaration musclée des membres de la société civile réunis au sein du Copil Citoyen.

Pour eux, il faut absolument mettre un terme au gonflage des députés et sénateurs dont, le respect des normes sur les nominations n’aurait pas été respecté selon les acteurs de la société civile du pays.

Il est a noté qu’un nombre bien précis était connu au préalable, soit 70 pour les députés et 50 pour les sénateurs mais, à la lueur de ce qui a été fait sous la houlette des hautes autorités du pays, « Brice Clotaire Oligui Nguema n’a point respecter lui-même les principes de la charte prônée par ses soins », se dit un membre de la société civile.

Ainsi, près de 98 députés ont été comptés, pour plus de la moitié où des noms d’ancien régime Bongo Ali, du parti démocratique gabonais (PDG) ont effectués leurs entrées en masse majoritaire au sein de la première chambre du parlement gabonais.

Le même cas s’applique également à la deuxième chambre du parlement où, les effectifs initiaux n’ont pas été respecté, « rien n’a été respecté, il faut ainsi faire recours à la cour constitutionnelle de la transition pour annuler cette mascarade », s’est indigné un membre de la société civile.

Dans cette optique, les membres du copil citoyen ont déposés un recours auprès de ladite cour constitutionnelle de la transition en vue d’annuler cette situation macabre dont ils estiment au non-respect des normes de la charte de la Transition.

Une situation qui viendrait alors mettre sur la table, un certains nombres de questionnement dont se pose les gabonais quant à la garantie et surtout, à la fiabilité des actes poser çà et là par le comité de la transition et de la restauration des institutions (CTRI). Le Chef de l’Etat gabonais, président de ladite Transition serait donc sur le point de perdre en crédibilité ? la question reste entière.

Nous y reviendrons…

Times Infos

Par Nancy Nguema.

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