Dès ce 13 novembre 2023, les associations religieuses, plus connues sous l’appellation d’Église ont été sommées de régulariser leurs situations administratives durant les huit jours à compter de ce lundi. Une décision qui émane des autorités du pays, précisément ceux en charges des questions y relatives.
Tombés comme une massue, les patrons des associations sont dans la contraintes de se conformer aux lois qui régissent ce secteur en République Gabonaise, sinon, c’est de se voir simplement mis sous sceller jusqu’à la régularisation de leurs situations administratives, « nous allons simplement nous mettre en règle, il le faut bien car, dans tout Etat, les associations du genre doivent toujours se mettre en règle », s’est exprimé un Pasteur d’Eglise à Libreville.
Rappelons que depuis l’avènement de l’armée à la tête du pays le 30 aout dernier, le Gabon connait des changements radicaux dans tous les secteurs d’activités, qu’il soit professionnel ou autre, le pays traverse ainsi une cure de jouvence pour lui donner un nouveau souffle et surtout, un nouveau visage reluisant.
« Toutes ces décisions visent à donner ou à ramener du crédit à notre pays, depuis un demi-siècle que le Gabonais vit dans la peur totale, il fallait bien que le changement vienne », a-t-il dit un anonyme.
Toutefois, une cartographie des églises serait nettement mieux car, cela viendrait à mettre un terme à l’anarchisme observé çà et là dans le pays. C’est donc huit (8) jours indiqués que, l’ensemble de ces operateurs religieux ont pour éviter des sanctions administratives par les autorités.
Times Infos
Par Serge Nguema.