Gabon : André Patrick Roponat victime d’une cabale à charge par ses bourreaux

Accusations, diffamations, manque d’objectivité et mensonges aggravés, c’est alors le spectacle que se livrent certains médias gabonais dont l’instrumentalisation fait le lit au bénéfice de quelques petites royalties données çà et là au mépris du code pénal y relatif.

Alors que le Gabon s’apprête à organiser les assises du conseil extraordinaire de la magistrature, des mains noires aux allures peu orthodoxe se mettent déjà en scelles pour selon elles, « débouter l’actuel procureur de la république » mais, l’on se demande si les contours ont bien été huilés car, dans le code de la communication du pays, deux (2) délits sont décelés, notamment : Insinuation malveillante et calomnie, en faisant une combinaison des articles 41, 44 et 194 dudit code.

A cet effet, trois (3) infractions du code pénale (CP) ont été clairement et maladroitement causées par cette démarche macabre : Outrage envers un dépositaire de l’autorité (Art 157 et 158 CP), Outrage à Magistrat (Art 161 CP) et Diffamation (Art 283 et 284 CP).

Ainsi, c’est par un récent reportage monter de toute pièce par un journal en ligne du pays qu’il est clairement établit cette sorte de cabale pour discréditer le procureur André Patrick Roponat dont le rôle était simplement de supervisé les enquêtes aux cotés des officiers de police judiciaire, ce, sous les regards physiques des mises en causes. « Ce contenu est simplement à charge monsieur le procureur de la République, pourtant, il ne s’agit nullement de lui mais, de la voix de son subalterne des services spéciaux. Le reportage fait par vos confrères est simplement faux, un grossier mensonge pour nuire au chef. Lorsqu’on veut faire des reportages du genre, il faut également aller écouter la partie accusée. L’on-t-il fait ? je pense que non », s’est exprimé un proche du dossier.

Faisant face à cette diatribe, André Patrick Roponat mettra les contrevenants aux faits de la loi en vigueur afin que sanctions sévères s’en suivent ? après cet acte commis par ses bourreaux sur le canal de notre confrère. Il serait judicieux de voir la justice sévir afin que de tels actes ne puissent se reproduire et surtout, servir de leçons aux principaux protagonistes dont l’appétit véreux est de mettre à mal la stabilité actuelle du pays.

Nous y reviendrons…

Times Infos

Par Nancy Nguema.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *