Gabon : L’architecte du complot contre le Proviseur Kisito ONDO NZOGOBE de Bitam

Bitam, cette cité ville économique de la province du Woleu-Ntem aux histoires malsaines maquillées dans les sombres cavernes est loin de l’honorer. Depuis quelques, l’emblématique Proviseur du lycée public Simon Oyono Aba’a est lâchement foudroyé sur la toile par ses détracteurs en panne d’éthique. Les publications agitent les réseaux sociaux. Qui en veut à cet homme sans histoires ? Le cocktail devient explosif sur fond de règlement de comptes.

Le 12 février dernier, les premières heures de la matinée ont été marquée par des publications ahurissantes visant clairement le Proviseur du lycée public Simon Oyono Aba’a. L’auteur de ce lynchage n’est autre que « Oyem Infos « . Dans les publications, on retrouve des captures d’écran de plusieurs supposées conversations ornées d’incohérences, entre le Proviseur et une jeune fille. Ce cocktail explosif qui ébranle actuellement la communauté éducative du département du Ntem mérite d’être traitée avec beaucoup de recul. Ce qui s’apparente aujourd’hui à un règlement de comptes serait parti d’un litige entre le Proviseur Kisito ONDO NZOGOBE et une jeune élève du lycée public Simon Oyono Aba’a, inscrite en classe de 1ère A1 B. Selon des sources fiables, cette élève répondant au prénom de Chancia, à la fréquentation très irrégulière s’était absentée des cours pendant la quasi-totalité du mois de janvier pour des raisons personnelles. C’est donc au terme de cette pause que l’élève s’est pointée à nouveau au lycée pour reprendre les cours. Constatant cela, le Proviseur a demandé à l’élève, les raisons de sa longue absence. L’élève Chancia aurait dit : « j’étais malade « . Suite à la réponse servie par l’élève, le Proviseur a donc demandé à cette de dernière de fournir un dossier médical, chose qui n’a jamais été faite.  » Pour réintégrer la salle de classe, il faut d’abord fournir un dossier médical « a déclaré le Proviseur. Suite à cela, une légère altercation aurait suivi, et à Chancia de dire : « Tu verras, tu ne sais pas de quoi je suis capable ».

Chancia a donc décidé de régler le litige à sa façon et cela, sur la toile en sollicitant les services du promoteur d’Oyem Infos. Et selon des sources proches, depuis la publication, le Proviseur ne cesse de recevoir des messages WhatsApp provenant d’un numéro inconnu : » Je te donne jusqu’à mardi, soit c’est la prison, soit je te dégage de ce poste de Proviseur « peut-on lire.  Une question mérite d’être posée. Pourquoi cette élève cherche à ternir la réputation de ce Proviseur pourtant apprécié de tous ? Pourquoi Chancia s’allie-t-elle aujourd’hui à Oyem Infos. On s’en souvient que c’est par ce même canal que la communauté avait été informée de la vie de débauche menée par cette jeune dame. 

En effet, Oyem Infos (page Facebook) avait fait une publication dans laquelle Chancia était identifiée avec deux autres filles au cours d’une opération de « Placements  » dans la ville d’Oyem.

Autres détails importants, en lisant les messages, on constate que les textes sont truffés de fautes élémentaires. Une preuve de plus qui démontre qu’il s’agit sans doute d’un montage réalisé par des amateurs. Qui pourrait avaler qu’un enseignant de formation comme Monsieur Kisito ONDO NZOGOBE puisse rédiger avec autant d’incohérences et de légèreté ? La jeune dame à l’origine de cette affaire s’est trompée de milieu. Elle pensait avoir le droit de transgresser les règles qui régissent le fonctionnement d’un établissement scolaire. Très active dans les hautes sphères des réseaux de « Placements «, cette n’a eu que seul recours, que cette bassesse qui met aujourd’hui à mal la réputation d’un Chef d’établissement bien connu dans les milieux pour son professionnalisme. Les récentes publications montrent qu’elle cherche à varier les coups pour faire vaciller le Proviseur. Mais les tentatives restent pour le moment sans effets, car Monsieur Kisito ONDO NZOGOBE bénéficie actuellement de nombreux soutiens. 

Affaire à suivre…

Times Infos

Par : Nesma BIBALOU.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *