Présidentielle 2025 au Gabon : Dr Iloko Boussengui Stéphane, le candidat de la proximité et du renouveau, en tournée nationale dans le pays 

Alors que la course à l’élection présidentielle du 12 avril 2025 s’accélère, le candidat Stéphane Iloko se distingue par une campagne de terrain axée sur l’écoute et la proximité avec les populations. À la tête de la Team IBS, il sillonne le pays, des grandes villes aux villages reculés, pour recueillir les préoccupations des citoyens et exposer sa vision d’un Gabon plus inclusif, décentralisé et prospère.

Un engagement concret envers les Gabonais de l’intérieur

Dans un contexte politique où les discours éloignés des réalités locales ont souvent prévalu, Stéphane Iloko adopte une approche radicalement différente. Sa tournée nationale, entamée après des étapes remarquées à Ovan et Makokou, l’a conduit à Okondja le 17 mars, où une causerie citoyenne a permis un échange direct avec les habitants. Loin des promesses creuses, il a insisté sur la nécessité d’une gouvernance de proximité :

« Nous devons repenser la gouvernance locale pour assurer un développement équilibré de toutes nos régions. Il est impensable que certaines localités manquent encore d’infrastructures de base en 2025. »

À Moanda, après un passage à Franceville, il a renouvelé son engagement en faveur d’une véritable politique de décentralisation. Face aux attentes des populations, notamment en matière d’emplois et de services publics, il a exposé des propositions concrètes visant à transférer davantage de ressources aux collectivités locales.

Une tournée nationale pour fédérer autour d’un projet ambitieux

Stéphane Iloko ne se contente pas de discours. Sa pré-campagne est structurée autour d’une immersion totale dans la réalité du pays. Dans les jours à venir, il prévoit de visiter Lastourville, Koula-Moutou et Iboundji, avant d’étendre sa tournée aux provinces de la Ngounié, de l’Ogooué-Maritime, de la Nyanga et du Woleu-Ntem.

Cette approche témoigne de sa volonté d’inclure toutes les régions dans le projet de développement national. Loin d’une campagne centrée sur Libreville et ses environs, il veut démontrer que l’avenir du Gabon se construit avec tous, y compris les populations rurales souvent marginalisées par les politiques publiques.

Son itinéraire s’achèvera dans le Grand Libreville, où il entend mobiliser un électorat diversifié, conscient de l’urgence d’un changement profond dans la gouvernance du pays.

Des propositions concrètes pour un Gabon plus juste et prospère

Contrairement aux stratégies électorales classiques, Stéphane Iloko ne se limite pas à exposer des intentions générales. Son programme repose sur des axes précis, formulés à partir des préoccupations remontées par les citoyens lors de ses échanges :

  • Décentralisation et développement local : Transférer des moyens réels aux collectivités locales pour qu’elles puissent améliorer l’accès aux infrastructures, aux services de base et aux opportunités économiques.
  • Jeunesse et emploi : Lancer un vaste programme de formation et de soutien à l’entrepreneuriat pour lutter efficacement contre le chômage des jeunes.
  • Accès aux services publics : Renforcer les infrastructures de santé, d’éducation et de transport, en garantissant une répartition plus équitable des ressources sur l’ensemble du territoire.

Son ambition est claire : redonner aux Gabonais les outils de leur propre développement et mettre fin aux inégalités territoriales qui freinent l’épanouissement du pays.

Un message d’espoir et d’engagement

Au fil de sa tournée, Stéphane Iloko gagne du terrain et capte l’attention de plus en plus de citoyens en quête de renouveau. Son message est limpide : « Le changement ne viendra pas d’en haut, mais d’un engagement collectif. »

En s’appuyant sur des échanges concrets avec la population, il incarne une nouvelle façon de faire de la politique, fondée sur la proximité, l’écoute et la prise en compte des réalités locales. À l’heure où les Gabonais s’apprêtent à faire un choix crucial pour l’avenir du pays, sa démarche pourrait bien redessiner les contours du paysage politique national.

Le 12 avril 2025, les urnes parleront. En attendant, la pré-campagne continue, et avec elle, l’espoir d’un Gabon plus juste, plus solidaire et plus tourné vers l’avenir.

Times Infos 

Par Wareen Aymaras

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